Certaines applications mobiles sont complètement autonomes. Elles embarquent avec elles toutes les données (images, informations, textes…) nécessaires à leur exécution. Il n’y a pas de synchronisation des données au lancement de l’application pour mise à jour des informations ou des contenus.
Complètement autonomes, elles ne dépendent souvent pas d’une connexion internet / wifi / data ou dépendent d’un service déjà existant qu’il n’est pas nécessaire de développer. Il n’y a ni information remontante, ni information descendante.
Pour mettre à jour les informations, le développement d’un nouveau package avec les nouvelles évolutions sera nécessaire ainsi qu’une republication et une revalidation dans les stores, ce qui peut prendre plus ou moins de temps selon la charge liée aux évolutions (partie développement) et le temps de validation dans les stores qu’on ne maitrise pas.
Les applications mobiles disposent très souvent d’une application web associée qu’on appelle back-office. Souvent destinée aux administrateurs seuls / éditeurs de la solution et fournisseur du service, elle est cachée aux utilisateurs cibles de celui-ci. Le back-office peut être installé sur un serveur web dédié ou sur un service cloud (Firebase par exemple).
Parmi les fonctionnalités que l’on retrouve souvent dans les back-office :
- des tableaux de bords avec des graphiques et indicateurs adaptés en fonction du type d’utilisateurs connectés
- des outils de modération de contenu : valider des contenus proposés par les utilisateurs de l’application (textes, photos…)
- ou des outils pour gérer les signalements des utilisateurs (lors de tchat ou messagerie interne entre utilisateurs de l’application)
- des outil de support aux utilisateurs (tchat pour répondre aux questions des utilisateurs dans l’application).
- des outils de création de contenu ou mise à jour via formulaire ou éditeur, afin de mettre à jour l’application avec de nouvelles informations ou contenus.